Des défaillances lors de la socialisation intraspécifique entraîneront des difficultés de relations avec les congénères qui peuvent s’avérer assez dangereuses pour le chien et pour ceux qu’il va rencontrer, rendant rapidement la situation invivable pour le propriétaire.
Un éleveur particulier ou professionnel de chien doit être très vigilant et conscient de la « responsabilité » qu’il a sur l’évolution future du chiot. Si ces troubles du comportement sont de moins en moins fréquents en élevage, le grand public n’a pas encore conscience que beaucoup de choses se décident avant l’arrivée d’un chiot dans sa « famille humaine d’adoption », et ne réalise pas la gravité que des manques lors de la période de socialisation primaire peuvent entraîner dans la vie future du chiot.